Un mandat de 5 ans au service de la Creuse

Un mandat de 5 ans au service de la Creuse

Le numéro 4 de La Creuse au Sénat vient de paraître. A télécharger en ligne.
Adoption de la loi pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt au Sénat : une loi d’avenir

Adoption de la loi pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt au Sénat : une loi d’avenir

Le groupe socialiste du Sénat se félicite de l’adoption en première lecture du projet de loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt. Traduction du projet agro-écologique, ce texte démontre la détermination du Gouvernement à engager notre agriculture dans une nouvelle voie afin de répondre à la crise durable qu’elle traverse depuis plusieurs années.
Nouveau numéro du journal du Club Produire en France

Nouveau numéro du journal du Club Produire en France

En tant que coprésidente du Club, je contribue aux travaux réguliers du Club Produire en France. Un nouveau numéro du journal vient de paraître. En novembre 2012, le fondement du Pacte national pour la croissance, la compétitivité et l’emploi, inspiré des travaux de Louis Gallois, Commissaire Général à l’investissement, avait pour objectif de renouer avec la croissance économique en renforçant la compétitivité de nos entreprises.
En 2014, un budget solide sera consacré à l’agriculture

En 2014, un budget solide sera consacré à l’agriculture

En tant que rapporteur pour avis au nom de la Commission des affaires économiques sur le budget de la mission « Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales » du projet de loi de finances pour 2014, je suis intervenue, le 27 novembre dernier, devant mes collègues membres de la Commission pour présenter les grandes lignes de ce budget et en défendre les priorités.


Adoption de l’interdiction de la mise en culture des Maïs OGM

Publié le 6 mai 2014

Communiqué de presse du groupe socialiste du Sénat

Le Sénat a adopté, lundi 5 mai 2014, à une large majorité, la proposition de loi socialiste interdisant la mise en culture des maïs OGM. Le texte, simple et préventif, répond à l’urgence cruciale de combler un vide juridique, alors que l’Europe n’arrive toujours pas à s’accorder sur le sujet.

Des risques environnementaux liés à la culture du MONSANTO 810 : apparition de résistances dans les populations de ravageurs, fragilisation de certaines espèces de papillons, dangers pour l’apiculture, ont été mis à jour par l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments elle-même..

Dès 1998, la France avait essayé de s’opposer à la décision européenne de 1998 autorisant la mise en culture du maïs MON 810. Le président de la République s’y est pleinement engagé à l’occasion de la conférence environnementale de 2012. A travers ce texte, le groupe socialiste souhaite « faire entendre la voix de la France et montrer que nous souhaitons maintenir une position ferme dans l’attente de contreparties sécurisantes autour de la mise en culture OGM » a précisé la sénatrice Renée Nicoux.

« Il s’agit aujourd’hui de franchir une étape, à travers un geste politique fort, visant à conforter, à l’échelon européen, la position qu’a déjà arrêtée notre pays» a insisté le sénateur Jean-Jacques Mirassou. Sans empêcher la recherche, puisque le texte vise expressément la mise en culture, la loi française permettra d’attendre plus sereinement une prochaine révision globale de la directive européenne sur les OGM.


PPL Maïs MON 810 (OGM) par reneenicoux

 

Pour en savoir plus :
le lien vers mon intervention en tant que chef de file pour le groupe des sénateurs socialistes
le lien vers la proposition de loi

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FISAC : un fonds nécessaire au développement de l’artisanat et du commerce

Publié le 6 mai 2014

A l’occasion de l’examen au Sénat du projet de loi relatif à l’artisanat, au commerce et aux très petites entreprises, je suis intervenue pour défendre un dispositif essentiel pour le développement économique des territoires ruraux : le fonds d’intervention pour les services, l’artisanat et le commerce (FISAC).

Auteure d’un amendement visant à améliorer le fonctionnement du FISAC et forte du soutien de nombreux socialistes ayant co-signé mon texte, j’ai défendu le principe d’une gestion déconcentrée des fonds FISAC, au plus près des besoins de nos artisans et commerçants de proximité. Alors qu’historiquement l’attribution des subventions octroyées aux bénéficiaires du FISAC se fait au niveau ministériel, j’ai défendu le principe d’une gestion plus souple des fonds par le préfet de département, calqué sur le système des dotations d’équipement des territoires ruraux (DETR).

Souhaitant relayer les dysfonctionnements affectant les acteurs économiques locaux dans la Creuse, et dans de nombreux autres départements ruraux, j’ai profité de cette occasion pour évoquer les difficultés rencontrées par les commerçants et artisans creusois éligibles à ces subventions, du fait de retards significatifs de paiements imputables à une procédure trop lourde et trop lente.

Cet amendement a été adopté par une majorité de sénateurs d’horizons politiques divers dont l’objectif commun est de donner une visibilité aux problèmes rencontrés par les territoires ruraux. L’étude du projet de loi se faisant selon la procédure accélérée, c’est-à-dire une seule lecture à l’Assemblée Nationale et au Sénat, il reviendra à la commission mixte paritaire de faire les derniers arbitrages.

 

Pour en savoir plus :

le lien vers mes interventions en séance publique

le texte du projet de loi relatif à l’artisanat, au commerce et aux très petites entreprises après son passage en première lecture devant les deux chambres parlementaires


FISAC : un fonds nécessaire au développement de… par reneenicoux

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Adoption de la loi pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt au Sénat : une loi d’avenir

Publié le 16 avril 2014

Communiqué de presse du groupe socialiste du Sénat

Le groupe socialiste du Sénat se félicite de l’adoption en première lecture du projet de loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt. Traduction du projet agro-écologique, ce texte démontre la détermination du Gouvernement à engager notre agriculture dans une nouvelle voie afin de répondre à la crise durable qu’elle traverse depuis plusieurs années.

En 10 ans, la France a en effet perdu 25% de ses exploitations agricoles et est passée de la 2e à la 5e place mondiale pour l’exportation de produits agricoles et agroalimentaires. Relever le défi de la compétitivité, en alliant performance économique et environnementale, est l’objectif que s’est fixé le Ministre de l’Agriculture pour donner un nouveau souffle à notre modèle agricole et lui permettre, par là-même, de conserver son rang et son excellence.

« Une première étape, et non des moindres, a été franchie grâce à l’impulsion et à la témérité de la France lors des négociations sur la réforme de la PAC avec notamment la sauvegarde du budget qui n’était pas acquise au départ» n’a pas manqué de rappeler la sénatrice Renée NICOUX lors des débats. La France y a défendu une agriculture respectueuse de l’environnement et protectrice pour les agriculteurs, particulièrement pour l’élevage et les petites exploitations.

La deuxième étape vient d’être engagée au Parlement avec l’examen de ce projet de loi qui permet de « prendre en compte les réalités économiques et mener pleinement le combat pour la compétitivité de notre agriculture », a précisé la sénatrice Bernadette BOURZAI. L’adoption du Groupement intérêt économique et environnemental (GIEE), la priorité donnée au renouvellement des générations et à la préservation des terres agricoles, la création de l’Institut national agronomique, vétérinaire et forestier ou encore la mise en œuvre d’une réelle politique pour la forêt sont autant de mesures emblématiques de ce projet de loi.

Les sénateurs socialistes se sont engagés avec « conviction et détermination » aux côtés du Gouvernement lors des débats et se félicitent de l’adoption ce jour, par notre Haute Assemblée, d’une véritable loi d’avenir pour notre agriculture et nos agriculteurs.

 

En tant que chef de file socialiste, j’ai pris la parole au nom de l’ensemble des parlementaires socialistes pour soutenir ce projet de loi.
Vous trouverez l’ensemble de mes interventions ici, avec des extraits vidéos ci-dessous.

>> Voir le dossier législatif complet sur le site du Sénat

Les extraits vidéos


Débat Loi d’avenir pour l’agriculture (1) par reneenicoux

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Le gouvernement entend prendre les mesures nécessaires pour conforter l’usage et l’échange des semences de fermes par les agriculteurs français

Publié le 17 mars 2014

A l’occasion d’un débat autour des pratiques agricoles et du droit de propriété intellectuelle, lors des questions adressées au gouvernement par les Sénateurs, j’ai souhaité que le ministre de l’Agriculture clarifie la situation concernant le droit d’usage et d’échange des semences de ferme par les agriculteurs français.

Face aux vives inquiétudes émanant du milieu agricole sur la menace d’une remise en cause de l’utilisation de telles semences par un renforcement de la lutte contre la contrefaçon, le ministère a ainsi rappelé que leur protection effective restait inchangée.

En outre, Stéphane Le Foll a rappelé que le gouvernement entendait renforcer cette pratique, vertueuse pour la sauvegarde de la biodiversité, à travers un élargissement de la liste des semences de ferme autorisées mais aussi à travers la possibilité offerte aux agriculteurs d’échanger ces semences au sein des nouveaux groupements d’intérêt économiques et écologiques (GIEE), portés par le projet de loi d’avenir agricole.

Je salue la volonté du gouvernement de préserver et d’élargir ce droit donné aux agriculteurs. Les semences de ferme sont indispensables au maintien d’une agriculture durable et écoresponsable.


Questions Cribles Echange semences de ferme par reneenicoux

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Nouveau numéro du journal du Club Produire en France

Publié le 10 février 2014

Produire-en-France-4En tant que coprésidente du Club, je contribue aux travaux réguliers du Club Produire en France. Un nouveau numéro du journal vient de paraître. Vous y retrouverez notamment mon édito.
>> Journal complet à télécharger ici (PDF- 1Mo)

En novembre 2012, le fondement du Pacte national pour la croissance, la compétitivité et l’emploi, inspiré des travaux de Louis Gallois, Commissaire Général à l’investissement, avait pour objectif de renouer avec la croissance économique en renforçant la compétitivité de nos entreprises. Le CICE, première mesure de ce pacte, permet à toutes les entreprises imposées d’après leurs bénéfices réels de déduire 6 % (4 % pour 2013) de la masse salariale brute inférieure ou égale à 2,5 SMIC.

Un an plus tard, des réserves peuvent émerger concernant le faible ciblage de ce dispositif sur les entreprises exportatrices ou l’industrie, les plus exposées à la concurrence mondiale, ainsi que sur l’absence de contreparties pour les entreprises qui bénéficient de ce crédit d’impôt. Néanmoins, il serait précipité d’en attendre et d’en évaluer tous les effets à ce jour, tant en matière budgétaires qu’en matière de répercussion sur les prix ou l’emploi, même si l’INSEE estime d’ores et déjà que le CICE a permis 30 000 créations d’emplois ou suppressions évitées en 2013. Beaucoup reste à accomplir pour donner forme à ce Pacte et de nombreux chantiers sont d’ores et déjà engagés pour garantir un meilleur accès au financement pour les petites et moyennes entreprises, pour une simplification de leurs démarches administratives, ainsi que pour une meilleure lisibilité de leur régime fiscal. Les efforts doivent donc être poursuivis pour que l’économie française regagne en compétitivité, des efforts qui commencent par la formation des jeunes générations et la formation tout au long de la vie, de manière à ce que chacun puisse mieux appréhender les mutations économiques.

Les 34 projets de reconquête industrielle s’inscrivent dans la nouvelle France industrielle, concept mis en œuvre par le Ministre du redressement productif Arnaud Montebourg, et qui a été présenté par le Président de la République, en septembre 2013. Ces 34 grands projets industriels s’inscrivent également dans la démarche et le travail engagés par les 14 comités stratégiques de filières du Conseil National de l’Industrie. Chaque projet regroupe tous les partenaires en capacité de contribuer à la mise en œuvre industrielle de projets issus de la recherche et qui peuvent s’inscrire dans une économie Le soutien aux entreprises françaises commence au niveau local, dans chaque territoire. Pour attirer les entreprises, il faut créer des conditions d’accueil satisfaisantes, discuter avec les chefs d’entreprises et identifier leurs besoins, mettre en exergue le potentiel de développement, les éventuelles difficultés et les efforts que la collectivité peut faire. Dans les entreprises déjà implantées, l’écoute des salariés, qui ont une parfaite connaissance de leur outil de travail et des compétences techniques souvent très pointues, peut permettre d’apporter des idées et solutions innovantes.

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En 2014, un budget solide sera consacré à l’agriculture, témoignant des nouvelles priorités françaises et des ambitions de la nouvelle politique agricole commune

Publié le 11 décembre 2013

En tant que rapporteur pour avis au nom de la Commission des affaires économiques sur le budget de la mission «Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales » du projet de loi de finances pour 2014, je suis intervenue, le 27 novembre dernier, devant mes collègues membres de la Commission pour présenter les grandes lignes de ce budget et en défendre les priorités.

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Vers un meilleur accès au logement et vers un urbanisme rénové

Publié le 15 novembre 2013

Le Sénat a adopté, lors de sa première lecture en octobre, le projet de loi pour l’accès au logement et un urbanisme rénové. Ce texte, très attendu, s’attaque à la crise du logement qui touche les plus vulnérables d’entre nous.
La réponse apportée par notre gouvernement à la crise du mal-logement est d’une ampleur sans précédent.

De nombreuses garanties sociales sont ainsi apportées par ce texte, notamment :
– Une meilleure protection des locataires mais également des propriétaires, contribuant ainsi à un meilleur équilibre de leurs rapports. Cela passe par l’instauration d’un contrat de location type, d’un modèle type d’état des lieux ou encore par le renforcement des obligations des locataires en matière d’assurance.
– La maîtrise du coût des loyers par un encadrement ne pouvant excéder 20% du loyer médian dans les zones tendues (zones caractérisées par un manque de logements disponibles)
– La maîtrise du risque d’impayés pour les bailleurs privés ainsi que la prévention en amont des risques d’impayés par l’instauration d’une garantie universelle des loyers (GUL). Les risques sont ainsi mutualisés, ce qui a pour vertu d’inciter davantage à la mise en location.
– Une meilleure prévention des expulsions.


PJL loi ALUR par reneenicoux

Par ailleurs, ce texte s’attèle à la modernisation des règles d’urbanisme, contribuant à améliorer l’efficacité des politiques publiques du logement tout en garantissant un meilleur respect des territoires.

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